Et voilà la fournée des mots collectés cette semaine chez Asphodèle : temps, vie, chanson, rien, diva, furibond, montagne, souffle, pollution, tempête, ballade, léger, envoyer, courant, bulle, prendre, gonfler, voleter, brèche, blesser, balançoire.
J’ai utilisé tous les mots mais j’ai malgré tout un peu triché puisque j’ai transformé ‘envoyer’ en ‘renvoyer’. Vous me direz que je ne manque pas d’air, en même temps, c’était le thème de la semaine ! ^^
Voici donc ma participation :
‘Eclatée, la bulle fragile qui nous maintenait en vie,
Trop grande était la brèche que nous avions ouverte.
Diva furibonde et blessée, tu t’es rebellée
Pour nous renvoyer au néant.
Plus de chanson qui résonne dans le soir.
Adieu jupes gonflées qui voletaient au vent léger,
Adieu balançoires et rires d’enfants…
Les tempêtes se sont apaisées.
Seule chante désormais la ballade de tes rivières
Courant dans les montagnes.
Le mot pollution est resté au passé…
Si longtemps tu nous as supportés
Et tu respires enfin.
Notre existence aura passé le temps d’un souffle,
Le temps d’un rien.
Tu n’as pas eu d’autre choix que de la prendre
Pour pouvoir vivre.
Nous avions choisi de mourir.’
Très bel épitaphe en forme de poème. 😀
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Merci Ceriat 🙂
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Il me semble que j’ai raté bien de jolies choses chez toi, Biancat…
Beau poème un peu pessimiste
La terre tournera encore que nous ne serons plus…
Bises de Lyon
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Merci Soene 🙂 Bises du Sud !
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Très jolie texte. Bravo pour ce poème.
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Oh merci 🙂
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Une jolie fable écologique, peut-être comprendrons-nous trop tard !
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Merci Bourgeon 🙂 J’espère que non, que le sursaut se produira pour que nous puissions vivre tous les deux, la Planète et nous !
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je suis ravie de lire d’aussi beaux textes
quel plaisir ici
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Merci beaucoup Patchcath 🙂
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Une vie donnée pour qu’une autre puisse vivre…c’est beau et nébuleux comme une brume d’été au-dessus d’un parc.Bravo
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Merci Célestine 🙂 Je me dis souvent ça à propos de la Terre, que nous autres humains devrons peut-être mourir pour qu’elle vive…
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Un peu tristoune… mais poésie oblige ! Bravo 🙂
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Merci Marla, et oui, c’est drôle comme ces mots légers comme l’air – dont c’était le thème – m’ont inspiré quelque chose dans ce style !
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Une prose très poétique pour laquelle je te félicite !!!
Bises
Domi.
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Merci Domi 😉 bises et bon dimanche !
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Mais tu as plusieurs cordes à ton arc ! Quel talent…
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Je ne suis pas très poésie mais des fois, ça sort comme ça… C’est gentil MCL, merci 🙂
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C’est très beau ! Ca change de ce que j’ai lu jusqu’à présent et ça prouve que tu es douée dans plusieurs exercices de style ! De le nostalgie, une certaine tristesse mais la vie est ainsi faite…
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Merci Aspho 🙂 et oui, au départ je voulais repartir sur mon Ariane, et c’est un tout autre poème qui s’est imposé…
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A quand le mot pollution au passé . beaucoup de nostalgie dans ce poème …
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Oui, je ne pensais pas moi-même que le texte allait tourner comme cela… les surprises des mots imposés 🙂
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Bonjour !
Je voulais te prévenir que j’avais nommé ton blog pour le Liebster Award. Tu peux participer si tu le souhaites ! La marche à suivre se trouve sur mon blog : http://laboucheaoreilles.wordpress.com Par contre, là je m’aperçois que tu as beaucoup plus que 200 followers mais ce n’est pas grave 🙂 Bonne fin de journée !
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Merci à toi ! Je suis toujours ravie d’être taguée 🙂 Bonne fin de journée à toi aussi !
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Le temps d’un soufflé, le temps d’un rien, le temps d’un poème, pas du temps perdu. Bravo.
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Pas le temps d’un soufflé, le temps d’un souffle bien sûr. Il faut perdre l’accent.
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Héhé oui il faut perdre l’accent 🙂 Merci à toi !
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Pingback: LES PLUMES 24, les textes en l’air ! | Les lectures d'Asphodèle, les humeurs et l'écriture
Ta poésie est aussi belle que ta prose…
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Oh merci Elisabeth 🙂 Bisous et très beau week-end à toi !
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